PRÉSENTATION DU HAUT COMITÉ NATIONAL DE LA FRANCOPHONIE

Pour la journée internationale de la Francophonie (20 mars 2006), Palais du Luxembourg.

Le ministre de la Défense, Michèle Alliot-Marie, est venue soutenir au nom du gouvernement l’initiative d’Annick du Roscoät et apporter son soutien au Haut Comité.

C’est au cours d’une réception officielle, placée sous le haut patronage du Président du Sénat, Christian Poncelet, et présidée par le ministre des Affaires étrangères, Philippe Douste-Blazy, que la Présidente Annick du Roscoät a présenté aux ambassadeurs et représentants des corps diplomatiques la création du Haut Comité National de la Francophonie.

Plus de 40 ambassadeurs ou représentants de chefs d’État ont répondu à l’invitation, témoignant par leur présence et leurs encouragements de leur attachement à la langue française. Parmi les nombreuses personnalités présentes, on pouvait noter – entre autres – la présence du conseiller du Président de la République, Roger Romani ; de S.E. Pierre André Wiltzer, ancien ministre de la Francophonie ; de Jacques Pelletier, Président du Groupe RDSE ; du bâtonnier et de Madame Danièle Burguburu, conseiller d’État ; du chancelier des universités Maurice Quenet ; de la déléguée générale à l’action artistique de la Ville de Paris, Béatrice de Andia ; de Sylvia Bergé, sociétaire de la Comédie-Française ; de Fabienne Amiach (France 3) ; d’Olivier Galzi, présentateur du journal télévisé de France 2, etc.

À l’occasion du 20e anniversaire de la Journée de la Francophonie, la Présidente a présenté la feuille de route du Haut Comité en citant cette phrase de Boutros Boutros-Ghali, Secrétaire général égyptien des Nations Unies : « La Francophonie sera subversive et imaginative ou ne sera pas ! ».

À l’issue de la soirée, la ministre de la Défense, Michèle Alliot-Marie, est venue soutenir, au nom du gouvernement, l’initiative d’Annick du Roscoät et apporter son appui au Haut Comité.


La Présidente entourée de quelques-unes des personnalités présentes à la cérémonie du Sénat.